6 octobre 2008

De la limite des images

Comment représenter un être que l’on nous décrit dans le Frontispice comme « un homme aux traits ravagés » ? Comment lui donner, au moins à travers sa relation amoureuse avec Clara, une existence tangible?
Dans un ouvrage publié en 1899, ce narrateur absent n’est pas la moindre des originalités…
L’homme dépendant, faible, motivé par son seul plaisir, ne semble pas plus épargné que la femme, changeante, dominatrice, adepte de spectacles cruels.
Cette entité couple, interdépendante, constitue un des nœuds de l’intrigue, une des problématiques transversales …..
Difficile à traduire visuellement….