Il y aurait comme un chemin de souffrance,
et des stations
qui matérialisent aussi l'incompréhension mutuelle
teintée toujours de fascination érotique,
et la désagrégation lente du couple...
Le corps exposé appartient à tout le monde,
le visage, banal, serait celui de tous les hommes
tout en ayant l'apparence du narrateur...
et des stations
qui matérialisent aussi l'incompréhension mutuelle
teintée toujours de fascination érotique,
et la désagrégation lente du couple...
Le corps exposé appartient à tout le monde,
le visage, banal, serait celui de tous les hommes
tout en ayant l'apparence du narrateur...