15 décembre 2008

De la luminosité /2/

Dans les geôles du bagne, la référence au caravagisme semble inévitable, tant dans l’évocation des martyres que dans l’emprise du clair obscur…
Le jour dans son acception la plus chromatique nous submerge à nouveau, lorsque Clara et le narrateur pénètrent dans le jardin…. Dans ce lieu aux multiples épreuves, aux différents tableaux ou happenings (j’y reviendrai), la journée s’écoule, et le soir est ponctué par deux nouveaux épisodes : le trajet en barque et l’arrivée à la maison des plaisirs que j’envisage comme un tableau de Gustave Moreau à la luminosité artificielle (scintillements, dorures) et impertinemment fausse….