Le second acte est, ou sera, l’expression de l’humidité et du minéral, mais sera caractérisé aussi, à part quelques grilles rappelant l’enfermement et les motifs du Frontispice, par l’absence de décor.
Reprenant Deleuze, on pourrait presque affirmer qu’il s’agira d’un espace rempli d’ombres, ou couvert d’ombres (devenant) espace quelconque. Les seules expressions viables du décor seront ici celles de la profondeur, lieu de la lutte qui tantôt attire l’espace dans le sans-fond d’un trou noir, et tantôt le tire vers la lumière.* (EV)
* DELEUZE, l’image Mouvement, Seuil, 1983, P.157